La réflexologie crânio-sacrée Méthode Poyet

La réflexologie crânio-sacrée, une technique douce, mais très complète. Elle n’établit pas de diagnostic médical, mais pose un constat énergétique de perturbations fluidiques. Cette technique permet de relancer le système d’adaptation et d’activer le processus d’autoguérison du corps.

La réflexologie crânio-sacrée, une technique à l’écoute du corps

Cette pratique est adaptée à tous, du nouveau-né au centenaire ! La manipulation est très douce : « le poids d’un papillon se posant sur une fleur » comme le rappelait souvent Maurice-Raymond Poyet.

Elle est indiquée en cas de douleur mais c’est aussi une technique « préventive » prenant en charge les individus qui veulent rester en bonne forme. Peu importe le type de douleur, il n’y a pas de diagnostic posé, uniquement un constat de perturbations fluidiques et une relance subtile au niveau des zones bloquées. Les corrections effectuées permettent au corps de retrouver ses capacités d’adaptabilité.

La réflexologie crânio-sacrée Méthode Poyet
La réflexologie crânio-sacrée Méthode Poyet
La réflexologie crânio-sacrée Méthode Poyet
William Garner Sutherland
La réflexologie crânio-sacrée Méthode Poyet

Quelle est l’histoire de la réflexologie crânio-sacrée ?

Le docteur américain William-Garner Sutherland (1873-1954) fut l’inventeur de l’ostéopathie crânienne. C’est en observant les biseaux de l’os temporal qu’il comprend l’emboîtement réciproque des os indiquant une mobilité articulaire avec un mécanisme respiratoire.

Plus récemment Maurice-Raymond Poyet (1928-1996), d’abord infirmier puis kinésithérapeute simplifia cette technique en l’améliorant via l’ostéopathie structurelle et crânienne. Rapidement, le plaisir de transmettre son savoir et son savoir-faire le conduit à l’enseignement.

C’est ainsi que le docteur Jean Marchandise (1954 -), sortant d’une formation en acupuncture (avec Robert Courbon) et en homéopathie (avec Dominique Senn), persuadé de la puissance des techniques énergétiques, fut l’élève de M-R. Poyet durant 4 ans. Avec d’autres élèves, il a aidé M-R. Poyet à concevoir et structurer cette nouvelle technique ; il l’a intitulée : « Réflexologie crânio-sacrée ».

Son activité de « médecin de campagne » à Saint-Flour, dans le Cantal, l’a amené à expérimenter sur de très nombreux patients les bienfaits de cette méthode. Au décès de Maurice-Raymond POYET en 1996, Jean Marchandise a eu à coeur de développer et de transmettre cette technique douce en l’adaptant au fur et à mesure de son expérimentation.

En se détachant de la lignée des techniques purement ostéopathiques, il permet ainsi d’avoir accès à cette technique d’approche fluidique du corps, tout en restant dans la limite du domaine de notre compétence qui doit être celui du retour à l’équilibre.

La réflexologie crânio-sacrée Méthode Poyet
La réflexologie crânio-sacrée Méthode Poyet

Comment se déroule une séance de réflexologie crânio-sacrée ?

La personne reste habillée, elle reste allongée sur la table de soin durant toute la durée de la séance et se trouve dans un état total de détente. Le toucher est effectué à travers les vêtements.

Les mouvements fluidiques sont partout dans notre corps et leur absence signifie perturbation. Dans un premier temps, je pratique une écoute passive (dite d’attente), c’est celle apprise par les ostéopathes patiemment pendant de long mois : la main, posée délicatement sur la zone cutanée à tester, j’observe et constate l’état des mouvements fluidiques de la structure osseuse du crâne puis du sacrum.

Une fois que les zones concernées sont identifiées, l’équilibration se fait via une relance du mouvement respiratoire primaire par un mouvement quasi imperceptible. Cette manipulation requière une connaissance très précise du sens de mouvements de l’ensemble des articulations du corps.

Quels sont les bienfaits d’une séance de réflexologie crânio-sacrée ?

Cette méthode permet de relancer la circulation fluidique naturelle de l’ensemble des mouvements corporels et organiques : le corps et les organes, retrouvent ainsi leur capacité de mouvement et peuvent emprunter le chemin de la guérison.

  • Une sensation de légèreté, de souplesse et de détente
  • Une augmentation de la vitalité
  • Une diminution des tensions et des douleurs jusqu’à leur disparition naturelle et
    spontanée.

La personne ne ressent pas de « contre coup » que peuvent comporter certains type de disciplines.